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Ce que contient principalement notre livre :

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- L’étude de quelques 60 plantes médicinales existant dans la plupart de nos régions, leurs usages dans les soins,

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- L'étude de quelques 26 huiles essentielles : les précautions d'emploiVoir exemple Romarin

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- L'étude de quelques 96 maladies. Pour chacune d'elles : définitions médicales actuelles, plusieurs traitements (détaillés) par les plantes médicinales suite

Ce qui nous en a été souvent rapporté : « c'est la première chose que je consulte quand je suis malade », « je l'ai toujours à portée de main », « même si je n'utilise pas toujours les traitements, il m'est rassurant de savoir qu'il existe encore des solutions naturelles contre les maladies », etc., etc.

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Pourquoi

La Phyto – Psychothérapie 


photo_dessinneurone

Il est difficile de soigner le corps
quand l’esprit n’en a pas réellement l’envie.

  • Dans ce cas, c’est donner aux professionnels et à la science, la prise en charge de sa propre santé. Quoi de plus normal puisque chacun, par des prélèvements obligatoires sur salaires, cotise à ce système de soin. Si le principe reste louable (l’accès aux soins pour tous ), il n’échappe pas à une certaine perversité. Né de l’idée des plus pauvres à constituer une cagnotte pour payer le médecin et l’hôpital quand un des leurs souffrait d’une maladie ou d’un accident, ce principe a vite dégénéré en « vache à lait ».

    Dessin de Ramón y Cajal, extrait de "Structure de la rétine des mammifères" Madrid, 1900.
    Domaine Public

    photo_neurones

    La cagnotte volontaire s’est transformée en caisse obligatoire ouverte à toutes spéculations et profits en tous genres pour devenir aujourd’hui le gouffre qu’est la sécurité sociale qui est appelée à disparaître dans un proche avenir (suffit d’observer la diminution constante des taux de remboursement qui oblige à prendre une assurance complémentaire de santé). Par contre, les cotisations resteront obligatoires (des soins pour tous, morale oblige, peu importe les niveaux de qualité)

  • (Dessin Synapse entre 2 neurones (under the terms of Title 17, Chapter 1, Section 105 of the US Code. See Copyright.)
    Domaine Public


    • Ce principe a aussi son revers de médaille : pourquoi prendre soin de soi pour éviter la maladie ou l’accident puisqu’il y a parfois, sinon quelques avantages (arrêt travail souvent mérité peut-être), mais aussi une certaine garantie d’être remis sur pieds sans trop de perte de gains. Pourquoi donc se priver d’un excès de risques dans les plaisirs (ski, vitesse, repas copieux, alcool, cigarettes, gourmandises, nuits blanches, sports violents, etc.) ou de confort (inactivité physique, drogues, médicaments qui apportent une sensation temporaire de bien être, télévision, sur- chauffage, sédentarité, sécurité, etc.)
    • Tout comme les traitements médicamenteux qui apportent un soulagement, ces excès, s’ils procurent certains plaisirs indispensables à la raison de vivre, ne sont pas sans effets secondaires. On se leurre, quand on regarde sa pharmacie bien chargée, à croire qu’avec tous ces médicaments et soutenu par les spécialistes qui les ont prescrits, on va enfin retrouver la vraie santé ! On se leurre à croire que la nourriture de basse qualité, mise à disposition des plus démunis, suffira à les maintenir en bonne santé.
    • On se leurre aussi à penser que la science trouvera toujours des solutions pour réparer, soigner ou compenser ce qu’elle a détruit, c’est plus facile que de changer notre mode de vie, c’est normal mais illogique et irresponsable (miser sur le bon sens et l’esprit responsable de nos scientifiques, c’est oublier Hiroshima, les déchets nucléaires, Tchernobyl, le réchauffement climatique … et malgré tout accepter les OGM et pourquoi pas, le clonage humain).
    • Soigner les maladies, soigner la personne ou se soigner soi-même ?

      photo_cellulesdupoulet

      Dessin de la main de Ramón y Cajal de cellules cerebelleuses de poulet, tiré de "Estructura de los centros nerviosos de las aves", Madrid, 1905.
      Domaine Public

      Tout comme pour les OGM, soit on accepte de faire confiance à la science et on utilise tous les nouveaux produits mis à disposition sur le marché pharmaceutique en pensant que cette science trouvera bien un nouveau produit contre les dégâts des effets secondaires des produits générés, soit on doute du bien fondé du progrès et on se tourne sur les anciennes thérapies vieilles comme le monde mais qui ont fait ses preuves puisque nous sommes là aujourd’hui.

      • A parcourir les anciens écrits pour constituer ce livre nous avons été confrontés à certains problèmes qui pouvaient prêter à confusion :

      • Nous nous sommes très vite aperçus, que d’un auteur à l’autre, la même plante était utilisée pour soigner des maladies différentes. Bien que la nature des sols où elles poussent modifie un tant soit peu leurs caractéristiques, cela ne justifiait pas la disparité des emplois malgré plusieurs points communs définis, tel que le fait d’être toutes appelées plantes médicinales.

      • Par recoupement, nous avons pu constater que d’un pays, d’une région, voire même d’un village à l’autre, les informations passaient difficilement, tant chacun restait campé sur son savoir avec l’influence et bénéfices qu’il procure. Sur ce point, ce n’était pas mieux qu’aujourd’hui ! (Le marché est plus que fécond)
      • Pour écrire ce livre, il nous a été facile d’additionner les propriétés de chacune des plantes isolées mais nous nous sommes interdits d’en modifier les associations, résultat indéniable de plusieurs milliers d’années d’observation, de recherche et d’essais. Ne soyez pas étonnés d’y découvrir plusieurs recettes pour la même maladie.

      Parenthèse

      photo_reinedespresplante

      Savez-vous que notre médicament fétiche, l’aspirine, (qui existe à l’état naturel dans la reine des prés et l’écorce de saule dont elle est extraite) serait interdite à la vente si elle avait été découverte ces dernières années alors qu’on vient d’y découvrir en juin 2006 en Angleterre, des propriétés très efficaces pour la prévention et le traitement de certains cancers ? Qui en parle ? Sous sa forme actuelle elle n’est pas rentable et risquerait de se substituer à d’autres traitements beaucoup plus fructueux ! De tels comportements peuvent expliquer notre ignorance de la médecine traditionnelle, populaire, qu’une désinformation volontaire a étouffer. Cela ressemble à la désinformation des conséquences monstrueuses de Tchernobyl, sur la population environnante. Qui a vu les reportages censurés sur les nouveaux nés difformes ? On veut préserver notre sensibilité ! Ça doit être ça, non ?



    Phytopsychotherapie

    Trop souvent, nous nous faisons ou contractons inconsciemment les maladies que nous connaissons, soit dans l’entourage, soit pour les avoir subies au moins une fois, soit pour en avoir été informés. Qui n’a jamais été subjugué à la lecture de certains ouvrages médicaux par les symptômes définis ?

    photo_arbregrenades

    Au point de ressentir ces symptômes et d’avoir peur d’attraper la maladie concernée ! C’est suggestif ! Ceci prouve bien l’influence du psychisme sur le développement ou non de la maladie et l’intérêt tout particulier qu’il faut lui consacrer.

    (Image Grenadier ou Arbre à grenades cultivé pour ses fruits comestibles et pour ses fleurs ornementales)Domaine Public

    Nombreux sont ceux qui se sont retrouvés en salle d’attente d’un cabinet médical à se demander pourquoi ils étaient là à rechercher sur eux les symptômes qui les y ont conduits et à se demander ce qu’ils allaient pouvoir dire au médecin, la maladie ayant mystérieusement disparu. Je peux en la circonstance parler de mon cas personnel : depuis l’age de 24 ans,

    photo_absinthe

    Je n’ai cessé de souffrir d’un ulcère de l’estomac. J’ai essayé presque tous les types de traitements, je ne comptais plus les fibroscopies avec prélèvement. Les crises devenaient toujours un peu plus douloureuses. C’est au cours d’une séance de psychanalyse, à 45 ans, quand, recroquevillé sur le divan, tordu par la douleur d’une nouvelle crise, que je me suis mis à parler de mon « foutu » estomac. Qu’elle n’a pas été ma surprise de m’apercevoir que j’étais dans le même cas que mon père, que comme pour lui, dans ces moments, on m’accordait un peu d’attention, un temps de répit dans les obligations familiales angoissantes quand, malgré les efforts, on n’arrive pas à répondre à toutes les demandes. Je suis sorti de cette séance sans plus ! Sans même constater que mes douleurs avaient disparu ! Ce n’est que quelques mois plus tard, lors d’une discussion sur les maux d’estomac que j’ai pu constater que je ne faisais plus de crises, je me rappelle que j’ai appréhendé que le seul fait d’y repenser les déclenche à nouveau. Les années ont passé et je peux dire encore aujourd’hui, « mon estomac ? Ça va ! »


    photo_absinthe

    Cet exemple parmi tant d’autres aperçus aux cours des séances d’analyses que nous proposons, nous permet d’affirmer que la parole peut contribuer énormément aux soins des maladies tout aussi fortement que certaines paroles peuvent les déclencher (ce que tu me dis me rend malade ! Il me rend malade ! Etc.).

    Sur ces bases, certains paragraphes intitulés « pytho-psychothérapie  » dans le traitement des maladies, peuvent choquer, fâcher ou déranger, notre seul but est d’interpeller par suggestions et non affirmation, pour déclencher l’expression. Il serait dommage de vous en priver.

    Il nous a semblé important d’apporter la définition aux différents noms donnés aux maladies, ne serait-ce que pour compenser les explications qu’on n’ose demander aux médecins de peur de déranger. Souvent on a le nom, le traitement, sans savoir ce qu’il en est exactement !

    Ces définitions sont tirées d’écrits anciens, récents, d’informations mises à disposition sur Internet et de notre expérience. Comme en phytothérapie toute la somme de ces connaissances, nous la devons surtout aux anciens qui ont osé disséquer les corps, opérer, soigner, transmettre et à tout ceux qui continuent! Ce n’est pas en l’an 2000 que l’on a tout découvert ! Chacun a dû puiser dans ces connaissances acquises, accumulées, pour en découvrir de nouvelles. Ce patrimoine appartient à chacun et à tous, nul ne peut en détenir l’exclusivité et le monopole, ce qui d’ailleurs n’intéresse souvent pas le chercheur passionné. N’est-ce pas rendre honneur à ce travail que de transmettre ou transcrire les résultats ?


    photo_violette

    Paragraphes « phytothérapie » :

    • Nous sommes restés particulièrement attentifs à ne décrire que les traitements composés de plantes existant dans notre environnement. Pourquoi : chacun sait que l’avenir de la planète est en danger de dépérissement, aller cueillir ses propres plantes médicinales, c’est prendre conscience de l’ampleur des dégâts. Constater la disparition et la pauvreté des espèces dans certaines régions, ne peut qu’inciter à réagir (il est des endroits où trouver une ortie, demande quelques heures de marche). De plus, marcher en pleine nature, cueillir quelques plantes ici et là pour se constituer un petit herbier, s’occuper à les connaître, devient vite une passion qui peut redonner un sens à la vie. C’est peut être là que sont les premiers résultats de la phytothérapie sur la maladie.



    Paragraphes « aromathérapie » 

    photo_alambic

    C’est une thérapie très peu connue chez nous malgré son ancienneté et ses résultats. Il n’est pas permis à tous de posséder un alambic, du fait même de son coût et de l’interdiction et la réglementation qui frappent la distillation (usage privé ou non). C’est ainsi ! Comme la plupart des alcools et des tabacs, les huiles essentielles proviennent en majeur partie de l’importation. Il est plus facile de gérer les taxes aux frontières que d’en voir échapper quelques unes au marché noir, qu’importe si l’inverse serait créateur d’emplois sur le territoire. Encore une fois, nous sommes en retard. La plupart des indications thérapeutiques nous viennent de l’étranger. Vous pourrez donc comprendre pourquoi les contre–indications portées sont si nombreuses. Nous vous conseillons de rester prudents à l’usage des huiles essentielles et de respecter les doses prescrites. Nous avons personnellement testé la plupart des traitements avant de les écrire.(Dessin de Al-Razi dans le recueil des traités de médecine de Gérard de Crémone 1250-1260)Domaine Public

    • Je vous conseille à ce sujet, la lecture des livres « l’aromathérapie » et « la phytothérapie » du docteur Jean Valnet.

    Nous vous laissons à penser:

    • Dernièrement, nous étions en rupture de stock d’huile essentielle appelée « hélichryse italienne » (rose des sables). C’est une huile vraiment essentielle, tellement elle est efficace et simple d’usage, contre les chocs, les hématomes, les entorses, etc. Nous, nous sommes donc présentés dans une pharmacie qui affichait herboristerie : cette huile n’y était pas connue !

    Avertissement

    Les informations et prescriptions médicales contenues dans notre livre  «  La phyto-psychothérapie» et notre site « les-inconscients.com » sont réservées à un publique d’adultes avertis et ne sauraient remplacer un avis autorisé des professionnels de la santé et se soustraire à leurs traitements.

    Avant toutes automédications, consultez un praticien ou un « thérapeute qualifié ». Nous, auteurs éditeurs et propriétaire de ce site, ne sauraient être tenus pour responsables d’un quelconque problème lié à l’usage des différentes prescriptions.