Protégeons
la
planète
Notre livre
La phytopsychothérapie en vente sur Amazon
![]() |
Ce que contient principalement notre livre :
- L’étude de quelques 60 plantes médicinales existant dans la plupart de nos régions, leurs usages dans les soins, - L'étude de quelques 26 huiles essentielles : les précautions d'emploiVoir exemple Romarin - L'étude de quelques 96 maladies. Pour chacune d'elles : définitions médicales actuelles, plusieurs traitements (détaillés) par les plantes médicinales suite Ce qui nous en a été souvent rapporté : « c'est la première chose que je consulte quand je suis malade », « je l'ai toujours à portée de main », « même si je n'utilise pas toujours les traitements, il m'est rassurant de savoir qu'il existe encore des solutions naturelles contre les maladies », etc., etc. Protégeons Notre livre
la
planète
Dessin de Ramón y Cajal, extrait de "Structure de la rétine des mammifères" Madrid, 1900.
Domaine Public
La cagnotte volontaire s’est transformée en caisse obligatoire ouverte à toutes spéculations et profits en tous genres pour devenir aujourd’hui le gouffre qu’est la sécurité sociale qui est appelée à disparaître dans un proche avenir (suffit d’observer la diminution constante des taux de remboursement qui oblige à prendre une assurance complémentaire de santé). Par contre, les cotisations resteront obligatoires (des soins pour tous, morale oblige, peu importe les niveaux de qualité)
Dessin de la main de Ramón y Cajal de cellules cerebelleuses de poulet, tiré de "Estructura de los centros nerviosos de las aves", Madrid, 1905.
Domaine Public
Tout comme pour les OGM, soit on accepte de faire confiance à la science et on utilise tous les nouveaux produits mis à disposition sur le marché pharmaceutique en pensant que cette science trouvera bien un nouveau produit contre les dégâts des effets secondaires des produits générés, soit on doute du bien fondé du progrès et on se tourne sur les anciennes thérapies vieilles comme le monde mais qui ont fait ses preuves puisque nous sommes là aujourd’hui.
Savez-vous que notre médicament fétiche, l’aspirine, (qui existe à l’état naturel dans la reine des prés et l’écorce de saule dont elle est extraite) serait interdite à la vente si elle avait été découverte ces dernières années alors qu’on vient d’y découvrir en juin 2006 en Angleterre, des propriétés très efficaces pour la prévention et le traitement de certains cancers ? Qui en parle ? Sous sa forme actuelle elle n’est pas rentable et risquerait de se substituer à d’autres traitements beaucoup plus fructueux ! De tels comportements peuvent expliquer notre ignorance de la médecine traditionnelle, populaire, qu’une désinformation volontaire a étouffer. Cela ressemble à la désinformation des conséquences monstrueuses de Tchernobyl, sur la population environnante. Qui a vu les reportages censurés sur les nouveaux nés difformes ? On veut préserver notre sensibilité ! Ça doit être ça, non ?
Phytopsychotherapie
Trop souvent, nous nous faisons ou contractons inconsciemment les maladies que nous connaissons, soit dans l’entourage, soit pour les avoir subies au moins une fois, soit pour en avoir été informés. Qui n’a jamais été subjugué à la lecture de certains ouvrages médicaux par les symptômes définis ?
Au point de ressentir ces symptômes et d’avoir peur d’attraper la maladie concernée ! C’est suggestif ! Ceci prouve bien l’influence du psychisme sur le développement ou non de la maladie et l’intérêt tout particulier qu’il faut lui consacrer.
(Image Grenadier ou Arbre à grenades cultivé pour ses fruits comestibles et pour ses fleurs ornementales)Domaine Public
Nombreux sont ceux qui se sont retrouvés en salle d’attente d’un cabinet médical à se demander pourquoi ils étaient là à rechercher sur eux les symptômes qui les y ont conduits et à se demander ce qu’ils allaient pouvoir dire au médecin, la maladie ayant mystérieusement disparu. Je peux en la circonstance parler de mon cas personnel : depuis l’age de 24 ans, Je n’ai cessé de souffrir d’un ulcère de l’estomac. J’ai essayé presque tous les types de traitements, je ne comptais plus les fibroscopies avec prélèvement. Les crises devenaient toujours un peu plus douloureuses. C’est au cours d’une séance de psychanalyse, à 45 ans, quand, recroquevillé sur le divan, tordu par la douleur d’une nouvelle crise, que je me suis mis à parler de mon « foutu » estomac. Qu’elle n’a pas été ma surprise de m’apercevoir que j’étais dans le même cas que mon père, que comme pour lui, dans ces moments, on m’accordait un peu d’attention, un temps de répit dans les obligations familiales angoissantes quand, malgré les efforts, on n’arrive pas à répondre à toutes les demandes. Je suis sorti de cette séance sans plus ! Sans même constater que mes douleurs avaient disparu ! Ce n’est que quelques mois plus tard, lors d’une discussion sur les maux d’estomac que j’ai pu constater que je ne faisais plus de crises, je me rappelle que j’ai appréhendé que le seul fait d’y repenser les déclenche à nouveau. Les années ont passé et je peux dire encore aujourd’hui, « mon estomac ? Ça va ! »
Cet exemple parmi tant d’autres aperçus aux cours des séances d’analyses que nous proposons, nous permet d’affirmer que la parole peut contribuer énormément aux soins des maladies tout aussi fortement que certaines paroles peuvent les déclencher (ce que tu me dis me rend malade ! Il me rend malade ! Etc.).
Sur ces bases, certains paragraphes intitulés « pytho-psychothérapie » dans le traitement des maladies, peuvent choquer, fâcher ou déranger, notre seul but est d’interpeller par suggestions et non affirmation, pour déclencher l’expression. Il serait dommage de vous en priver.
Il nous a semblé important d’apporter la définition aux différents noms donnés aux maladies, ne serait-ce que pour compenser les explications qu’on n’ose demander aux médecins de peur de déranger. Souvent on a le nom, le traitement, sans savoir ce qu’il en est exactement !
Ces définitions sont tirées d’écrits anciens, récents, d’informations mises à disposition sur Internet et de notre expérience. Comme en phytothérapie toute la somme de ces connaissances, nous la devons surtout aux anciens qui ont osé disséquer les corps, opérer, soigner, transmettre et à tout ceux qui continuent! Ce n’est pas en l’an 2000 que l’on a tout découvert ! Chacun a dû puiser dans ces connaissances acquises, accumulées, pour en découvrir de nouvelles. Ce patrimoine appartient à chacun et à tous, nul ne peut en détenir l’exclusivité et le monopole, ce qui d’ailleurs n’intéresse souvent pas le chercheur passionné. N’est-ce pas rendre honneur à ce travail que de transmettre ou transcrire les résultats ?
C’est une thérapie très peu connue chez nous malgré son ancienneté et ses résultats. Il n’est pas permis à tous de posséder un alambic, du fait même de son coût et de l’interdiction et la réglementation qui frappent la distillation (usage privé ou non). C’est ainsi ! Comme la plupart des alcools et des tabacs, les huiles essentielles proviennent en majeur partie de l’importation. Il est plus facile de gérer les taxes aux frontières que d’en voir échapper quelques unes au marché noir, qu’importe si l’inverse serait créateur d’emplois sur le territoire. Encore une fois, nous sommes en retard. La plupart des indications thérapeutiques nous viennent de l’étranger. Vous pourrez donc comprendre pourquoi les contre–indications portées sont si nombreuses. Nous vous conseillons de rester prudents à l’usage des huiles essentielles et de respecter les doses prescrites. Nous avons personnellement testé la plupart des traitements avant de les écrire.(Dessin de Al-Razi dans le recueil des traités de médecine de Gérard de Crémone 1250-1260)Domaine Public
Avertissement
Les informations et prescriptions médicales contenues dans notre livre « La phyto-psychothérapie» et notre site « les-inconscients.com » sont réservées à un publique d’adultes avertis et ne sauraient remplacer un avis autorisé des professionnels de la santé et se soustraire à leurs traitements.
Avant toutes automédications, consultez un praticien ou un « thérapeute qualifié ». Nous, auteurs éditeurs et propriétaire de ce site, ne sauraient être tenus pour responsables d’un quelconque problème lié à l’usage des différentes prescriptions.