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Ce que contient principalement notre livre :

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- L’étude de quelques 60 plantes médicinales existant dans la plupart de nos régions, leurs usages dans les soins,

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- L'étude de quelques 26 huiles essentielles : les précautions d'emploiVoir exemple Romarin

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- L'étude de quelques 96 maladies. Pour chacune d'elles : définitions médicales actuelles, plusieurs traitements (détaillés) par les plantes médicinales suite

Ce qui nous en a été souvent rapporté : « c'est la première chose que je consulte quand je suis malade », « je l'ai toujours à portée de main », « même si je n'utilise pas toujours les traitements, il m'est rassurant de savoir qu'il existe encore des solutions naturelles contre les maladies », etc., etc.

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Utilisations des plantes médicinales



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Plantes, parties utilisées :

Si pour certaines plantes toutes les parties ont des propriétés similaires, il n’en est pas de même pour d’autres dont les propriétés sont complètement différentes :


Conditionnement en sachets kraft


  • Racines :

    Elles sont souvent récoltées en fin de saison pour laisser à la plante le temps de se reproduire (valériane, consoude, bardane, réglisse, angélique, etc.…).


  • Tiges :

    Elles se récoltent au printemps juste avant la montée de la sève


  • Ecorces :

    Elles se récoltent en automne quand la sève est descendue.


  • Sève :

    Il faudrait la prélever en automne pendant la descente de la sève mais, pour préserver la flore souterraine, mieux vaut l’extraire au printemps en montée de sève. Faire une incision profonde dans l’écorce ou y percer un petit trou incliné et légèrement en travers. A l’aide d’un silicone de qualité alimentaire, modeler un goulot sous l’entaille ou le trou, suffisamment long pour récupérer la sève que vous récupérerez dans un récipient correctement amarré (ficelle ou scotch)


  • Feuilles :

    Certaines feuilles sont difficiles à sécher en claies si on ne les sépare pas (ex : tussilage, tabac, bardane, bourrache, etc.). Dans ce cas il est conseillé de les faire sécher sur un fil (comme certains champignons).


  • Sommités fleuries :

    Certaines fleurs sont petites et poussent en grappe ou ombelle (ex : aubépine, millepertuis, reine des prés, berce, angélique, etc.), il est plus facile dans ce cas de cueillir la sommité fleurie.


  • Fleurs :

    On cueille les fleurs souvent une à une avant qu’elles ne se défraîchissent. Bien les étaler sur les claies, le plus rapidement possible après récolte.


  • Fruits :

    Cueillir les fruits lorsqu’ils sont juste mûrs. Couper les gros fruits en fines tranches, éviter les contacts entre elles sur la claie. Compter six jours de séchage.


  • Graines :

    Il est possible de récolter les graines directement sur la plante, suffit de surveiller et d’être là au bon moment. C’est de loin la meilleurs solution car elle favorise le réensemencement naturel (on en laisse toujours un peu). Sinon, il est possible de cueillir les plantes arrivées à maturité et de les suspendre, tête en bas sur un papier et ramasser les graines qui tomberont d’elles-mêmes.


Plantes fraîches

photo_sacsplantes

Mis à part quelques plantes qui sont à sécher pour éliminer certains constituants toxiques avant leur emploi, il est conseillé pour la plupart, de les utiliser à l’état frais quand cela est possible pour profiter de toutes leurs propriétés vu que certaines diminuent ou disparaissent au séchage.

La plante fraîche est conseillée dans les préparations liquides qui servent de conservateur.

  • Elixirs :s’appelle élixir toute solution buvable.



Utilisation

  • Vin ou vinaigre médicinal :

    Vin ou vinaigre dans lequel on a laissé macérer des écorces, des racines ou des feuilles de plantes fraîches, sèches ou extraits


  • Alcoolature :

    Faire macérer pendant 8 jours avant emplois, à poids égal, une seule variété de plantes fraîches dans de l’alcool à 90°, dans un bocal fermé hermétiquement, secouer 2 fois par jour. Filtrer, mettre en petits flacons opaques (pour éviter trop d’air en contact), se conserve d’une année à l’autre à l’abri de la lumière. Posologie : plusieurs gouttes (suivant indications) mélangées à une boisson (eau, tisane, jus d’orange, etc.). Pour info : 50 gouttes correspondent à environ 1 gramme.


  • Huiles essentielles :

    Elles sont obtenues par distillation de la vapeur d’eau (plus de 90°) injectée dans une cuve contenant une grande quantité de plantes, (une seule variété à la fois). Le distillat est récupéré dans un récipient spécial où l’huile plus légère que l’eau distillée, par décantation, se trouve séparée.


  • Hydrolats :

    Appelés aussi eau de…(rose, bleuet, etc.) c’est l’eau distillée, récupérée lors de la fabrication de l’huile essentielle (voir ci-dessus). Ils sont chargés de certaines propriétés de la plante. Ils sont utilisés en eau de toilette (rose, carotte …), en bains (yeux : bleuet, camomille,…), par voie orale (carotte…) et autres.


  • Huiles macérées :

    Dans ce cas, c’est l’huile qui est utilisée comme solvant et conservateur, il est préférable d’utiliser des plantes fraîches et une huile végétale de bonne qualité (bio, première pression à froid). Principe : mettre les plantes (une seule variété à la fois) dans un bocal hermétique, couvrir d’huile, exposer le récipient au soleil pendant 3 à 4 semaines. Filtrer en comprimant les plantes pour en extraire le maximum. Mettre en flacons de 100 ml en verre teinté. Conservée à l’abri de la lumière, cette huile pourra être utilisée jusqu’à l’année suivante


  • Huiles infusées :

    La seule différence entre l’huile de macération et l’huile infusée et que cette dernière est chauffée au bain marie avec les plantes pour en extraire les principes actifs. Le procédé à l’avantage d’être plus rapide mais on y perd le principe de photo- synthèse obtenu avec le soleil, ce qui n’enlève pas que ces huiles restent efficaces dans les traitements.


  • Teinture mère :

    Elle s’obtient par macération de la plante sèche ou fraîche dans de l’alcool éthylique ou autres (vodka, rhum, etc.) de 40 à 50 ° ; l’alcool sert de solvant et de conservateur. Une seule variété de plante doit être utilisée par teinture.


  • Proportions :

    200 g de plantes sèches ou 600g de plantes fraîches pour 1 litre d’alcool, laisser macérer 2 semaines en secouant le récipient (ex :bocal étanche) de temps en temps, filtrer et conserver en flacons teintés au frais, à l’abri de la lumière.


  • Utilisation :

    En principe, 5 ml dilués dans ½ verre d’eau ou autre, trois fois par jour.


Plantes sèches

Image - Gaillet jaune en séchage sur claie

photo_plantessechees

Séchage :

Il est préférable de cueillir les plantes le matin après évaporation de la rosée et bien sûr par temps sec. Pour éviter la fermentation, il faut étaler au plus vite les plantes sur des claies, à l’ombre (ou au soleil quelque temps pour certaines plantes difficiles à sécher) dans un endroit aéré et chaud si possible (grenier, pièce chauffée, etc.)

Un rideau en coton (si possible) à petites mailles, quelques lattes en bois ou baguettes pour le cadre, un peu de ficelle et d’imagination, vous donneront des claies bon marché et efficaces. Il existe des séchoirs électriques en étuve ou ventilé relativement coûteux, c’est une solution pour les grandes quantités ou quand l’habitat n’offre pas d’autres perspectives.

Pour sécher les racines et les fruits, il faut les couper en fines rondelles et de préférence avec un couteau en céramique pour éviter l’oxydation.

Conservation :

photo_plantesenbocaux

Sitôt séchées, il faut penser au stockage pour conserver aux plantes le maximum de propriétés et éviter l’empoussièrement. La première règle est de stocker au sec, à l’abri de la lumière (placard, armoire, etc.). Récipients : bouteilles, bocaux, flacons, en verre teinté, fermés hermétiquement, sachets en papier kraft, sacs en coton ou en toile de jute.

Utilisation:

Comme il est cité ci-dessus, il est toujours préférable d’utiliser la plante fraîche dans la plupart des cas mais ceci n’enlève rien à l’efficacité des plantes séchées qui ont l’avantage de pouvoir être stockées d’une année à l’autre.

  • Infusion

    On peut utiliser la plante fraîche ou séchée. Principe : mettre la ou les plantes dans une tasse ou théière, couvrir suivant dosage, d’une eau frémissante ( si bouillante, attendre 2 mn avant de la verser sur la préparation), laisser infuser 10 mn, filtrer, avant utilisation. En général, il est préférable de réduire en poudre les mélanges de plantes séchées (moulin en céramique de préférence, ou mortier, mixeur etc.) et de doser à raison d’une cuillerée à café par tasse. En général, il faut compter 3 tasses par jour sur des périodes de 5 jours toutes les 3 semaines en cas de cure.


  • Décoction

    Méthode utilisée pour extraire les principes actifs de certaines plantes (écorces, racines, la prêle, etc.). Suivant proportions indiquées, faire bouillir une certaine quantité de plante dans de l’eau pendant ½ heure à plus d’une heure, suivant le cas. Filtrée, cette décoction conservée au frais, devra être utilisée dans les cinq jours qui suivront leur préparation (il faut en tenir compte pour éviter tout gaspillage).


  • Poudre

    Suivant indications, certaines plantes peuvent s’utiliser sous forme de poudres qui accompagneront les assaisonnements, les soupes (après cuisson), les yaourts, etc... Elles offrent l’avantage de simplifier la prise du traitement. Il est possible de les utiliser sous forme de gélules, facile à préparer soi-même : on trouve ces gélules vides, en gélatine, en vente dans les magasins spécialisés et certaines pharmacies.


  • Crème

    Une crème est un mélange d’un peu d’eau (émulsifiant), d’un corps gras (consistance et propriétés) et de plantes sous différentes formes.


  • Exemple de préparation

    Mélanger 70 ml d un corps gras végétal (ex : huile d’amande douce) à 80 ml d’eau et 30 g de plante sèchée, faire chauffer au moins 3 heures au bain marie puis filtrer à chaud ; après refroidissement, mettre en petits pots hermétiques et conserver au frais. Utiliser la crème obtenue dans les 3 mois.
    Quelques gouttes de teinture de benjoin ou d’huile de germe de blé, prolongeront sa conservation.


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  • Compresse

    Les compresses sont faciles à réaliser : tremper un morceau de tissu (propre et en coton de préférence), soit dans une infusion chaude, une décoction, un extrait, une alcoolature ou un vinaigre à base de plantes ; appliquer sur la zone affectée. Veiller à ce que la température de la préparation reste chaude (50 à 60°)


  • Cataplasme

    A la différence de la compresse, le cataplasme se prépare avec des plantes fraîches. Exemple : faire bouillir 3 mn la ou les plantes dans très peu d’eau, essorer pour éviter un excès de liquide. Après avoir légèrement huilé la peau pour la protéger, appliquer les plantes, maintenir si possible par un bandage. Renouveler toutes les 3 heures


  • Inhalations

    Les huiles essentielles sont ce qu’il y a de plus efficace pour préparer une inhalation : 3 à 5 gouttes dans un inhalateur ou à défaut, dans un bol d’eau frémissante (un linge sur la tête pour canaliser les vapeurs) suffisent. Inhaler 5 à 10 minutes, renouveler 3 fois par jour.
    Plantes fraîches ou séchées : remplir le bol pour les plantes fraîches, un quart pour les sèches, couvrir d’eau bouillante, inhaler.


Nota Bene

Nous avons à cœur dans un avenir prochain, de mettre à disposition de celui qui refuse que l’on puisse décider de ce qu’il doit lire , voir ou entendre, une documentation contre censure, sur ce que la nature, , nous offre dans ses derniers soubresauts, nous attendons avec impatience le prochain printemps et les moyens d’acheter l’appareil photo adéquat qui nous permettra de réaliser ce livre qui offrira à qui veut, la possibilité de reconnaître les plantes confusion, livre qui personnellement, nous avons en vain cherché sans jamais le trouver !



Avertissement

Les informations et prescriptions médicales contenues dans notre livre  «  La phyto-psychothérapie» et notre site « les-inconscients.com » sont réservées à un publique d’adultes avertis et ne sauraient remplacer un avis autorisé des professionnels de la santé et se soustraire à leurs traitements.

Avant toutes automédications, consultez un praticien ou un « thérapeute qualifié ». Nous, auteurs éditeurs et propriétaire de ce site, ne sauraient être tenus pour responsables d’un quelconque problème lié à l’usage des différentes prescriptions.