Protégeons
la
planète

Notre livre

Achetez
Notre livre

La phytopsychothérapie en vente sur Amazon

couverture_livre

 CopyrightFrance.com

Options supplémentaires

Ce que contient principalement notre livre :

couverture_livre

- L’étude de quelques 60 plantes médicinales existant dans la plupart de nos régions, leurs usages dans les soins,

couverture_livre

- L'étude de quelques 26 huiles essentielles : les précautions d'emploiVoir exemple Romarin

pages_livre

- L'étude de quelques 96 maladies. Pour chacune d'elles : définitions médicales actuelles, plusieurs traitements (détaillés) par les plantes médicinales suite

Ce qui nous en a été souvent rapporté : « c'est la première chose que je consulte quand je suis malade », « je l'ai toujours à portée de main », « même si je n'utilise pas toujours les traitements, il m'est rassurant de savoir qu'il existe encore des solutions naturelles contre les maladies », etc., etc.

Protégeons
la
planète

Notre livre

Achetez
Notre livre

La phytopsychothérapie en vente sur Amazon

couverture_livre

photo_bugrane

Ménopause :

Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Michel Tasson

Ononis Spinosa - Arrête-Boeuf- Bugrane

La ménopause se caractérise par l’arrêt définitif des règles chez la femme. Un phénomène qui survient aux environs de la cinquantaine, à un âge assez variable d’une femme à l’autre.
Les ovaires cessent leur fonctionnement de façon souvent rapide. Cette période s’accompagne de troubles désagréables pendant quelques mois ou quelques années.

Les ovaires ont deux fonctions :

La sécrétion des hormones (folliculine et progestérone) et l’excrétion des ovules – c’est-à-dire la fonction de reproduction. Les règles témoignent de la desquamation de la muqueuse utérine qui s’était préparée pour une nidation, quand l’ovule n’a pas été fécondé. L’arrêt des règles n’est donc pas un inconvénient en soi : il signifie seulement que les ovaires ne fonctionnent plus suffisamment bien pour assurer une fécondation.

Voir à Bourse à Pasteur

En réalité, la fonction de reproduction, l’ « ovulation» est compromise bien avant la ménopause. A partir de quarante ans environ, un nombre progressivement croissant de cycles menstruels sont « anovulatoires », bien que par le jeu des sécrétions hormonales toujours présentes, ils se terminent malgré tout par des règles.

De même, la sécrétion des hormones diminue de façon assez progressive. Il est même fréquent que la ménopause soit précédée (pré ménopause) par une sécrétion en excès de folliculine. Et la ménopause elle-même ne signifie pas arrêt complet de la sécrétion de folliculine : ce n’est souvent que plusieurs mois ou plusieurs années après, que les divers examens mettent en évidence une franche diminution de celle-ci.

photo_bourdaine

Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Jeffdelonge

Frangula Alnus - Rhamnus Frangula - Bourdaine

Les troubles de la ménopause :

La bouffée de chaleur ou la brusque crise de sueur profuse survenant le jour et ou la nuit.
Le stress, l’insomnie, prise de poids, asthme ou hypertension artérielle, des troubles de l’humeur et du caractère, des maux de tête, etc.…

Voir à Romarin

Le traitement hormonal supprime radicalement les bouffées de chaleur et les sueurs. Les facteurs psychologiques sont très importants, capables d’entretenir des bouffées de chaleur malgré un traitement hormonal bien conduit.

Ménopause :

C’est le manque d’oestrogènes qui provoque la quasi-totalité des symptômes de la ménopause. Lors de la prescription d’oestrogènes, la rétention hydrique, le risque hémorragique ne doivent pas se rencontrer si la prescription est faite à des doses correctes ; l’association de sédatifs, de conseils d’hygiène et de régime complète ces prescriptions. Lorsque les symptômes résistent au traitement habituel, il faut résister à la tentation d’augmenter les doses d’hormones et insister au contraire sur les traitements agissant sur le système nerveux. Quand la ménopause s’accompagne d’une tendance à l’engraissement, il y a intérêt à se passer, si possible, des hormones oestrogènes, qui favorisent souvent la prise de poids.

Voir à Achilée

La pré- ménopause :

Période de quelques années, 3 à 5 précédant la ménopause, pendant laquelle les ovaires vont fonctionner de façon irrégulière, avant de s’arrêter définitivement à laménopause. C’est l’insuffisance en progestérone ; la thérapeutique substitutive logique doit faire appel à la progestérone ou aux progestagènes à doses suffisantes.

Troubles : Seins gonflés et douloureux- prise de poids – appétit augmenté- rétention d’eau – règles présentes, parfois hémorragiques – douleurs articulaires- fatigue- déprime- diminution de la libido- sécheresse vaginale- peau sèche-

Aromathérapie

photo_romarin

Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Christian Bauer - Jean Tosti

Rosmarinus Officinalis - Romarin Officinal - Fleur de Romarin

Voie orale :

1 goutte dementhe poivrée (mentha piperita) pour bouffées de chaleur + 1 goutte de niaouli (melaleuca viridiflora) troubles de la ménopause : sur ¼ de morceau de sucre roux à sucer ou dans une cuillerée à café d’huile d’olive ……. 2 x par jour pendant 3 jours, accompagner de tisanes de sauge officinale (salvia officinalis labiée)- emménagogue- qui régularise les règles (2 feuilles par tasse, 2 tasses par jour pendant 1 semaine, à renouveler 1 semaine plus tard)

Voir à Niaouli

Accompagner de tisanes de sauge officinale (salvia officinalis labiée)- emménagogue- qui régularise les règles (2 feuilles par tasse, 2 tasses par jour pendant 1 semaine, à renouveler 1 semaine plus tard)

Attention : Menthe poivrée : déconseillé chez la femme enceinte et allaitante, et les enfants de moins de 6 ans.Pas d’usage prolongé sans avis médical
Niaouli : déconseillé dans les 3 premiers mois de la grossesse

En application locale  :

1 goutte de menthe poivrée (mentha piperita) + 1 goutte de niaouli(melaleuca viridiflora) : mélangée à une cuillerée à café d’huile de sésame à appliquer sur l’abdomen.

Voir à Menthe

Attention : Menthe poivrée : déconseillé chez la femme enceinte et allaitante, et les enfants de moins de 6 ans. Pas d’usage prolongé sans avis médical
Niaouli : déconseillé dans les 3 premiers mois de la grossesse

Phytothérapie

photo_sauge

Commons licenceCC-BY-SA par auteur : Oswald Engelhard- David Monniaux

Salvia Officinalis - Sauge Officinalis - Fleur de Sauge

Tisanes :

Chicorée25 gr + pissenlit (feuilles) 20 gr + romarin 20 gr + millefeuille 15 gr + petite centaurée 15 gr + renouée des oiseaux 15 gr + bourdaine (écorce) 15 gr : une cuillerée à café de ce mélange réduit en poudre par tasse d’eau ; bouillir 5 minutes, boire ½ tasse 2 fois par jour.

Ou :

En alternance, boire après une cure de 3 semaines : ortie 20 gr + millefeuille 20 gr + arrête-bœuf 15 gr + bourse-à-pasteur 15 gr + baies de genièvre 10 gr : emploi comme ci-dessus.

Voir à Sauge

La sauge possède des oestrogènes végétaux et permet de diminuer les bouffées de chaleur, elle est aussi un réducteur de la transpiration et raffermit la mémoire.

Le souci est la plante qui stimule le retour des règles et surtout la reprise de leur cours normal en atténuant la douleur et les troubles divers liés à leur perturbation.

Voir à Souci

Préparer la teinture de souci : Faire macérer pendant une dizaine de jours 50 grammes de fleurs sèches dans 250 cl d’alcool à 60° ; prendre 10 gouttes 3 fois par jour pendant la semaine précédant l’époque des règles.

L’aubépine a une action diurétique et est utilisée pour traiter les troubles urinaires, rétention d’eau, hypertension, lithiase, calculs urinaire. L’aubépine est calmante et sédative pour les sujets nerveux et fébriles.

photo_capsella

Capsella Bursis - Bourse à Pasteur

Image Domaine Public

Recommandée pour l’insomnie d’origine nerveuse stress anxiété agitation avec implications cardiaques neurasthénie épuisement. L’aubépine est une alliée des femmes, particulièrement celles en pré ménopause et ménopause. Les fleurs tonifient et aident à stabiliser les femmes en cas de sautes d’humeur, de maux de tête, d’étourdissements ; les rosacées nourrissent les nerfs et le coeur, elles aident à faire diminuer les crampes menstruelles et à équilibrer le taux hormonal, elles fortifient les os, diminuent l’insomnie, les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes, les bosses aux seins, la rétention d’eau et les palpitations cardiaques...



Cure : Voir Aubépine

La bourse à pasteur : Une plante indiquée en cas d’hémorragies, spécialement celles de l’utérus, régularise remarquablement le flux menstruel, lorsque les troubles sont liés à un état de faiblesse générale, lorsque les règles sont irrégulières et douloureuses. Laissez infuser 2 heures la plante fraîche à raison de 10 gr par quart de litre d’eau chaude, prendre 3 à 4 tasses par jour. L’infusion de bourse à pasteur régularise à coup sûr les menstruations, si prise les 8 à 10 jours précédant l’époque des règles

Pensez aussi à la prêle (voir prêle ), l’ortie pour ses sels minéraux, les racines de pissenlit contre le cholestérol et à l’achillée (favorise le flux biliaire- régulateur du cycle menstruel)- .



Avertissement

Les informations et prescriptions médicales contenues dans notre livre  «  La phyto-psychothérapie» et notre site « les-inconscients.com » sont réservées à un publique d’adultes avertis et ne sauraient remplacer un avis autorisé des professionnels de la santé et se soustraire à leurs traitements.

Avant toutes automédications, consultez un praticien ou un « thérapeute qualifié ». Nous, auteurs éditeurs et propriétaire de ce site, ne sauraient être tenus pour responsables d’un quelconque problème lié à l’usage des différentes prescriptions.