Protégeons
la
planète
Notre livre
La phytopsychothérapie en vente sur Amazon
Ce que contient principalement notre livre :
- L’étude de quelques 60 plantes médicinales existant dans la plupart de nos régions, leurs usages dans les soins, - L'étude de quelques 26 huiles essentielles : les précautions d'emploiVoir exemple Romarin - L'étude de quelques 96 maladies. Pour chacune d'elles : définitions médicales actuelles, plusieurs traitements (détaillés) par les plantes médicinales suite Ce qui nous en a été souvent rapporté : « c'est la première chose que je consulte quand je suis malade », « je l'ai toujours à portée de main », « même si je n'utilise pas toujours les traitements, il m'est rassurant de savoir qu'il existe encore des solutions naturelles contre les maladies », etc., etc. Protégeons Notre livre
la
planète
Image Prunus Spinosa - Prunellier
Hémorroïdes : les hémorroïdes ne sont pas autre chose que des varices localisées à la région de l’anus, c’est-à-dire des dilatations plus ou moins importantes des veines de la région anale qui est extrêmement riche en vaisseaux sanguins. Ces dilatations repoussent la peau à l’extérieur, en doigt de gant, et créent ainsi, sur le pourtour de l’anus, les bourrelets hémorroïdaires. Il existe deux types d’hémorroïdes : les hémorroïdes externes situées sous la peau à la limite de la fesse (on les voit si on écarte le pli fessier), et les hémorroïdes internes qui au contraire, se trouvent dans le canal de l’anus, on ne peut les apercevoir qu’à l’aide d’un instrument spécial : l’anuscope
La cause des hémorroïdesest souvent liée aux maladies du foie, qui empêchent le sang veineux de rejoindre le cœur : à ce titre les cirrhoses du foie provoquent presque toujours des hémorroïdes, il en est de même pour l’hypertension artérielle.
Image Calendula Officinalis - Souci Officinal
Nous retiendrons que les hémorroïdes ne relèvent pas d’une affection bénigne puisqu’elles peuvent dans certains cas n’être que le signe d’une maladie plus importante. Les hémorroïdes sont particulièrement fréquentes chez les obèses, les sédentaires, les gros mangeurs, chez les personnes sujettes aux troubles intestinaux, les personnes qui souffrent d’une constipation chronique pour qui la gêne à l’évacuation intestinale amène d’énormes dilatations veineuses lors de la défection. Chez les diarrhéiques, l’irritation de l’anus par les selles fréquentes, provoque les mêmes troubles. Image Cichorium Intybus - Chicorée Sauvage Commons licenceCC-BY-SA par auteur :Jeffdelonge En massage local : 40 gouttes de cyprès( cupressus sempervirens ), décongestionnant veineux, cicatrisant + 20 gouttes de lavande vraie (lavandula angustifolia), calmante, antiseptique, diluées dans 30 ml ( 5 cuillères à soupe) d’huile d’amande douce, application 3 fois par jour en massage locale. Attention : Cyprès, déconseillé chez la femme enceinte et allaitante et chez les enfants de moins de 12 ans. Pas d’usage prolongé sans avis médical, formellement contre-indiqué dans les pathologies cancéreuses hormono dépendantes Voie orale:
Par quels signes se traduisent-elles ? : Par des poussées hémorroïdaires, survenant comme toujours, à la suite d’un excès alimentaire, d’une crise de constipation et parfois sans cause appréciable. Attention aux complications…Aromathérapie
Attention : Cyprès : déconseillé chez la femme enceinte et allaitante et chez les enfants de moins de 12 ans Pas d’usage prolongé sans avis médical, formellement contre-indiqué dans les pathologies cancéreuses hormono dépendantes. Romarin : déconseillé chez la femme enceinte et allaitante et chez les enfants de moins de 12 ans, formellement contre-indiqué dans les pathologies cancéreuses hormono dépendantes. Pas d’usage prolongé sans avis médical
Image Agropyrum Repens - Chiendent - Dent de Lion
Voie orale soit :
Ortie(feuilles) 20 gr + bouleau ( feuilles) 20 gr + prêle 20 gr + genièvre (baies) 20 gr + chicoré(racine) 20 gr + chiendent (racine) 20 gr + pissenlit (racine) 20 gr : réduire en poudre, compter 1 cuillère à café par tasse d’eau, faire bouillir 2 minutes , laisser infuser 5 minutes, boire 1 tasse 1 heure avant les 3 repas jusqu’à guérison.
-Ou : calendula (fleurs du souci) 25 gr + guimauve (feuilles) 20 gr + prunellier (fleurs) 20 gr + plantain 15 gr + millefeuille 15 gr + bourdaine (écorce) 15 gr : prendre une cuillerée à café du mélange réduit en poudre par tasse d’eau, faire bouillir 5 minutes, laisser infuser cinq minutes ; en boire une tasse matin et soir à jeun. Toute tisane apporte un résultat plus prononcé si l’on en boit par petites doses toutes les heures de la journée.
Lorsque persiste un trouble des fonctions excrémentielles, autrement dit, si l’émission des selles ou des urines n’est pas normale, les substances nuisibles restent dans le corps. Il faut dans ce cas boire tantôt une tisane diurétique, tantôt une autre d’effet laxatif.
Urtica Dioica - Ortie Piquante
Commons licenceCC-BY-SA par auteur :Jeffdelonge
Traitement des hémorroïdes simples :
L’hygiène alimentaire a une grosse importance : évitez les gros repas, les banquets, supprimez alcools et apéritifs, café et excitants, rayez les aliments épicés et poivrés de vos menus. La marche, les exercices physiques, dans des limites raisonnables, favorisent la circulation du sang. Surveillez votre intestin, en traitant avec soin une constipation qui, nous l’avons vu, est souvent à l’origine des hémorroïdes , mais évitez les laxatifs violents qui aggravent au contraire les hémorroïdes ; l’huile d’olive, l’huile de paraffine , sont au contraire indiquées car non irritants. La poussée hémorroïdaire réagit souvent très bien aux bains de siège chauds, aux compresses chaudes.
Avertissement
Les informations et prescriptions médicales contenues dans notre livre « La phyto-psychothérapie» et notre site « les-inconscients.com » sont réservées à un publique d’adultes avertis et ne sauraient remplacer un avis autorisé des professionnels de la santé et se soustraire à leurs traitements.
Avant toutes automédications, consultez un praticien ou un « thérapeute qualifié ». Nous, auteurs éditeurs et propriétaire de ce site, ne sauraient être tenus pour responsables d’un quelconque problème lié à l’usage des différentes prescriptions.